C’est un régime spécial qui ne pas à confondre avec la gestion administrative et politique pendant le temps normal.
Si l’Administrateur militaire du Territoire de Beni ne peut pas intervenir dans les opérations militaires pourquoi n’est pas laissé l’Administrateur civil?
L’Administrateur militaire c’est un admirateur du terrain pour l’éradication de l’insécurité et la restauration de l’autorité de l’État.
La casie totalité de l’action de l’État pendant l’Etat de siège est focalisée sur les les opérations militaires visant à remettre la paix et la sécurité dans la partie concernée. L’instauration de l’État de siège sur l’ensemble du territoire national ou sur une partie intervient lorsque l’autorité constate un péril grave.
C’est pourquoi il faut des mesures exceptionnelles à la hauteur de la situation constatée.
C’est ce qui justifie la nomination des militaires et policiers étant des personnes aptes à répondre à l’éventualité de guerre dans la commande des opérations militaires.
Comme nous l’avons signalé ci-haut, vous constaterez que la mission de l’Administrateur militaire du Territoire de Beni comme c’est de lui que nous parlons sera concentrée dans les actions militaires sur terrain et non au bureau.
Et toutes les actions du gouvernement iront dans le sens de faciliter la bonne réalisation des opérations militaires.
Ceux qui disent que l’Administrateur militaire n’a pas à intervenir dans les opérations militaires, ignorent le sens ou la motivation du remplacement des autorités civiles par les autorités militaires pendant l’État de siège.
Signalons en chutant que ce qui crée la confusion dans la tête du congolais c’est l’absence de législation à la matière. Les ordonnances du Président de la République ont été prises à se référant uniquement aux dispositions constitutionnelles faute d’une loi.
C’est ce qui justifierait d’ailleurs le retard dans la presse des mesures y relatives.
Avons contacté l’élu provincial du territoire de Beni, Paluku Ngahangondi Jean-Paul pour avoir toutes ses données sûres et précises.
La rédaction