Le président de la République Démocratique du Congo, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo s’est adressé samedi 16 novembre à la population de la ville de Lubumbashi, capitale de la province du Haut-Katanga.
Pour l’opposant Claudel Lubaya, c’est discours est un monologue et qu’on doit changer le Président et non la constitution.
« Ce soir à Lubumbashi, j’ai noté un président Tshisekedi aux abois, aussi faible qu’affaibli par l’ivresse d’un pouvoir illégitime, davantage agité et inquiet de son avenir, cherchant désespérément par les mensonges, la manipulation, les menaces et intimidations, à perpétrer un coup d’État constitutionnel par le changement de la Constitution », a écrit Claudel Lubaya sur son compte X.
Et de poursuivre : « Ce soir à Lubumbashi, Félix Tshisekedi, en dépit des efforts fournis avec la même verve oratoire, a déçu plus d’un Congolais en démontrant son incapacité endémique à comprendre et à interpréter de manière claire et compréhensible, l’esprit et la lettre de notre Constitution, plus spécialement, son Article 217 ».
Selon Claudel Lubaya à Lubumbashi, Félix Tshisekedi s’affirme en problème, en source d’instabilité et facteur aggravant de la fragmentation de notre Nation. Il en est le danger, la menace pour son unité. De lui, la Nation n’a plus rien à attendre. Ses promesses électorales, il ignore.
Claudel Lubaya appelle aux forces vives de la RD Congo, pour prendre la mesure de la gravité du danger et se rassembler autour des articles 64 et 220 en vue de faire échec aux fantasmes politiques de Félix Tshisekedi.
Dodo MATHE