samedi, mai 4

Journée mondiale des droits humains : la CRDH appelle à une “justice transitionnelle” pour sanctionner les auteurs des atrocités à Beni

La Journée des droits de l’homme est célébrée chaque année le 10 décembre, jour de l’anniversaire de l’adoption en 1948 par l’Assemblée générale des Nations Unies de la Déclaration universelle des droits de l’homme, un document fondateur qui a proclamé les droits inaliénables de chaque individu en tant qu’être humain, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.

Cette déclaration est la première reconnaissance universelle du fait que les libertés et les droits fondamentaux sont inhérents à tout être humain, qu’ils sont inaliénables et s’appliquent également à tous, que nous sommes tous nés libres et égaux en dignité et en droits. Ce document fondateur traduit dans plus de 500 langues différentes continue d’être, pour chacun d’entre nous, une source d’inspiration pour promouvoir l’exercice universel des droits de l’homme.

À cette occasion de la journée internationale des droits humains célébrée chaque 10 décembre de l’année. La convention pour le respect des droits de l’homme “CRDH” tout en condamnant la recrudescence de l’insécurité dans la région de Beni qui impacte négativement sur l’ingrité humaine.

Pense qu’il faut une “justice transitionnelle” pour faire face à cette situation des violations des droits humains dans cette partie du Nord-Kivu.

Patrick Mukohe son secrétaire permanent, estime que la traduction en justice des auteurs des affres dans cette région devrait servir d’exemple pour minimiser les actes barbares dans la région.

Fred Mastaki Rex

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