
La journée dédiée à la protection de la forêt est célébrée le 21 mars de chaque année. Pour l’année 2025, une conférence a vécu à l’Université de Conservation de la Nature de Kasugho (UCNDK) pendant laquelle le Chef de Travaux Désire Kasirikani Mbakwiravyo a démontré que cette dévastation vertigineuse des forêts est nocive à la vie de tous les êtres aérobiques y compris l’homme.
La destruction en grande échelle de la forêt par l’homme en sa faveur et à sa défaveur a été vivement déplorée par cet écologiste.
« La forêt est tellement menacée pendant que le reboisement n’est pas une réalité dans la région de Beni », a dit le Chef de Travaux Désire Kasirikani Mbakwiravyo enseignant à l’Université de Conservation de la Nature de Kasugho.
« Depuis le néolithique la pression demeure négative contre la forêt », a t il poursuivi.
Cet écologiste craint à la disparition de la forêt avec des conséquences graves sur l’existence humaine. Il a cité le réchauffement climatique qui doit déjà interpeller toute la communauté.
Vu l’importance écologique de la forêt, il demande à l’État d’appliquer des mesures préventives qui s’imposent pour restaurer les écosystèmes forestiers.
Si la ville de Butembo essaie de planter quelques eucalyptus, à Beni la sylviculture paraît le cadet de soucis des habitants.
Plusieurs végétaux et animaux ont disparu mais ils peuvent réapparaître si les forêts sont restaurées, a-t-il espéré.
Certains autres environnementalistes conseillent le reboisement systématique pour un monde vivable.
Kawa Ngoy Érick