Certains vendeurs des boissons alcoolisées disent que la présence de la police militaire au centre de Komanda, territoire d’Irumu en Ituri depuis le mois de décembre dernier a impacté négativement sur leurs activités commerciales suite aux arrestations des militaires qui venaient pour l’achat de leur boisson locale communément appelée (Kaiko) dans la langue locale.
Selon les témoignages recueillis par notre correspondant dans la région certains d’entre eux disent que c’est pour leur première fois de voir la police militaire PM travailler ainsi et que les militaires sont contraints de divaguer dans des quartiers.
“Ici chez nous, c’est un quartier où la majorité nous sommes des vendeurs des ces boissons alcoolisées le jour comme la nuit. Ces policiers arrivent pour voir s’il ya des militaires dans nos maisons où nous vendons la boisson et s’ils trouvent un militaire on l’arrête sur terrain car ils nous disent que les militaires ne sont pas autorisés de déambuler dans les quartiers. Nous nous n’avons pas des problèmes avec ces policiers qui sont en tennue militaires. Moi pour ma première fois je pensais que sont des militaires c’est après que j’ai appris que sont des policiers militaires qui lutte contre les militaires en divagation. Or m la majorité des nos clients sont des militaires; on gagnait l’argent surtout le jour où ils recevaient leurs salaires là nous étions des patrons car moi qui vous parle je vendais plus des trois bidons par jour mais actuellement il ya plus moyen car nos maisons sont trop surveillées par cette unité de la police militaire installée ici à Komanda,” a déclaré l’un des vendeurs de cette boisson.
Par ailleurs, un autre vendeur a déclaré que : “Moi suis ici dans mon quartier chaque jour on enregistrait des vols, des combats des des jeunes et des militaires sous l’état d’ivresse mais actuellement des tels cas ont sensiblement baissé, moi je dirais que c’est grâce aux patrouilles que mène la police militaire déjà ici à Komanda depuis un moment car ils sont toujours sur terrain entrain de passer quartier par quartier jour comme la nuit. Ils sont là même la journée s’installent dans un endroit pendant 1 heures entrain de voir les mouvements de la population mais la situation la plus pire pour eux trouver des militaires dans des maisons de commerces des boissons alcoolisées de fabrication locale là, on les arrête. Mon quartier ici était surnommé deux doigts aujourd’hui il y a plus des maisons des ventes des ces boissons il y avait beaucoup de désordres j’avais envie de vendre ma parcelle à cause de ces désordres mais actuellement suite à la présence des PM, tout est devenu calme ».
Syaghenda Prince, depuis Komanda