Dans un communiqué, le collectif se réclamant Des victimes de l’agression Rwandaise dit condamner la répression de la manifestation organisée à Goma dans le souci d’exiger le départ de la force régionale de l’EACRF.
Ci-dessous l’intégralité dudit2 communiqué :
Le Collectif des Victimes de l’agression rwandaise RDF/M23, CVAR ONGDH et les mouvements citoyens condamnent avec la dernière énergie l’usage excessif de la force par les éléments de la police nationale Congolaise mercredi 18 octobre 2023 contre les manifestants pacifiques.
Le Collectif des Victimes de l’agression Rwandaise rwandaise RDF/M23 dénonce encore une fois les violations graves des droits humains commis par les éléments de la PNC.
Le Collectif des victimes de l’agression Rwandaise M23/RDF et les mouvements citoyens fustigent l’attitude anti-patriotique du maire de la ville de Goma qui continue à fouler au pied les mesures légales en nageant dans les violations graves des droits humains. Rappelons que, le cas le plus grave est celui du 30 août 2023, où il a été encore à la taille d’une violation des droits humains.
Tout en condamnant l’arrestation arbitraire de nos trois militants ( Patient Komayombi, Aimable Gafurura et Gloire Bagaya), nous dénonçons aussi la disparition des trois autres militants dont deux femmes et un homme.
Nous exigeons la libération de nos camarades et demandons au maire de la ville de Goma de retrouver dans le plus bref délai nos militants disparus. Pour la nième fois, nous appelons encore une fois la population de la ville de Goma et ses environs à se lever comme un seul homme pour exiger le départ de la force régionale de l’EACRF.
Le collectif des victimes de l’agression Rwandaise M23/RDF et les mouvements citoyens, se réservent le droit de traduire en justice le maire de la ville de Goma et les responsables de la PNC pour leur bavure.
Paluku D.