mardi, mars 25

Beni : tout savoir de la planète 50-50 d’après Joël Kavuya

Le combat pour l’égalité des droits et d’opportunité des personnes de sexe masculin comme celles de sexe féminin est une lutte de longue à l’heine, révèle monsieur Joël Kavuya un homme genré ambassadeur de la masculinité positive vivant en ville de Beni, province du Nord-Kivu, dans l’Est de la République Démocratique du Congo.

A l’occasion de la journée internationale de la femme Africaine célébrée le 31 juillet de chaque année, la rédaction de rtr-beni.net est allée à la rencontre de ce jeune pour savoir sa lecture du concept planète cinquante cinquante.

Durant l’entretien réalisé mercredi 31 juillet 2024, Joël Kavuya a déclaré : « le concept planète cinquante-cinquante ne doit pas être une illusion mais une affirmation de soi pour une chance égale d’accès aux opportunités, égalités des droits, égalités des charges pour un monde équilibré qui abandonne les stéréotypes hostiles à l’émergence d’une catégorie des personnes suite à leur situation physiologique ou mieux sexuelle ».

Les parents qui éduquent leurs enfants filles comme garçons ne doivent en aucun cas privilégié une partie seulement parce qu’elle est de tél sexe au détriment de l’autre.

Les coutumes qui bloquaient la femme en faveur du seul mariage ou des besoins des ménages doivent s’améliorer pour permettre à la femme une saine émancipation afin que l’égalité des chances soit une réalité dans ce monde planétaire, soutien Joël Kavuya ambassadeur de la masculinité positive.

Dans sa casquette d’encadreur du comité d’enfants, il dit toujours encourager l’excellence des membres du comité d’enfants dit parlement d’enfants filles comme garçons à fournir les mêmes efforts pour accéder aux mêmes opportunités.

Celui-ci conseil aux parents l’habitude d’une division sexuelle du travail sans laisser les travaux un peu difficiles aux seuls garçons ou la vaisselle aux seules filles mais une inclusion de tous à toutes les besognes.

L’égalité homme et femme qui n’est pas sur le plan biologique n’est pas une discrimination ni positive moins encore négative en faveur ou en défaveur de tel ou tel autre sexe, a conclu Joël Kavuya.

Kawa NGOY ERICK

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