Il s’estautorités de l’ordre public au Nord-Kivu en République Démocratique du Congo. Cet échange était organisé par le réseau de médias pour le développement (REMED) où l’activité était clôturée vendredi 07 octobre en ville de Beni où les journalistes et les autorités de l’ordre public et de la sécurité se sont assis sur une même table pour discuter autour du journalisme dans le contexte de l’état de siège au Nord-Kivu ainsi que les attentes de chaque partie.
Selon le porte-parole de l’armée Antony Mualushay, les opérations Sokola 1 attendent de journalistes une bonne collaboration tout en leur demandant aux de voir quel genre d’information doit être diffusé afin de ne pas s’exposer aux ennemis ainsi que faire comprendre le language de l’armée à la population.
Les journalistes ne doivent pas se baser aux sources non fiables, ils doivent aussi respecter la ligne rouge ou la ligne de conduite, qui sont les attentes des la Police Nationale Congolaise (PNC) exposées par Nasson Murara, communicateur de la PNC commissariat urbain de Beni.
Partant de vingt-un (21) articles du code d’éthique et déontologie du journaliste dont quinze (15) devoirs, il y a le droit qui demande aux autorités de sécuriser les journalistes et de leur accorder l’accès libre à toutes les sources.
A noter que, la rédaction est le protecteur primaire des journalistes, le journaliste est l’agent principal de sa protection, il doit évaluer le risque afin de ne pas exposer sa vie et celle de son entourage.
Lysa Bisimwa